Encore de très belles images et des explications intéressantes

Que de belles rencontres ! Je trouve tes photos d'oiseaux superbes. Et rien à voir avec mes préférences

Itou, chapeau Alain

C'est toujours aussi passionnant de te suivre, comme Robert j'apprécie bcp les photos des oiseaux, plus ce somptueux coucher de soleil.

je découvre toutes ces merveilles , quel voyage fabuleux avec une faune extraordinaire . Merci de nous en faire profiter , c'est magique

Une MAJ des plus agréables très variée dans le choix des espèces, des compo et des cadrages : mes préférées le pano sur les Girafes dans la plaine, le Rollier à longs brins, le Calao de Bradfield et la scène intimiste de contact affectif des chacals à chabraque.

Robert

Merci à vous Joëlle, Jean, Dominique, Rémy, Robert, Michel, Luna, Sophie et Robert...

À l'origine, le parc national de Chobe était peuplé par les bochimans. Ces chasseurs-cueilleurs itinérants se déplaçaient en permanence à la recherche de nourriture, à savoir des fruits, de l'eau et des animaux sauvages. Ils ont laissé des traces de leur passage sous forme de peintures sur des rochers.
Au début du XXe siècle, la région, qui allait devenir le Botswana, a été divisée en districts. À cette époque, une grande partie de la surface actuelle du parc a été classée comme terre de la Couronne. L'idée de ce parc national était de préserver la biodiversité tout en promouvant le tourisme qui a fait son apparition dès 1931. L'année suivante, 24 000 km2 autour du district de Chobe ont été officiellement déclarés comme une réserve de chasse, cette surface étant agrandie deux ans plus tard pour atteindre 31 600 km2.
En 1943, une sévère épidémie propagée par la mouche tsé-tsé a retardé la création du parc national. En 1953, le gouvernement s'est à nouveau intéressé à ce projet, ce qui a conduit à la création d'une réserve animalière de 21 000 km2, plus petite que prévue initialement, en 1960. En 1967, la réserve est devenue un parc national.
À cette époque il y avait plusieurs implantations industrielles dans la région, particulièrement à Serondela où l'industrie du bois était très présente. Ces implantations ont peu à peu été déplacées en dehors du parc et ce n'est qu'en 1975 que l'activité humaine a complètement disparu du territoire protégé. De nos jours, on peut encore voir des vestiges de l'industrie du bois à Serondela. Le parc a été légèrement agrandi à deux reprises en 1980 et 1987.
Spokes nous a montré des ruines et nous a expliqué que c’était les restes de la maison du chef de l’exploitation de bois, un français dont j’ai oublié le nom. Quand toute l’industrie du bois a été sortie du parc, il a reçu l’autorisation du gouvernement de continuer à habiter dans cette maison où il est mort. Sa tombe est toujours visible à côté des ruines.
Le parc est mondialement connu pour sa grande population d'éléphants, estimée à environ 50 000 individus. Ce sont des éléphants du Kalahari, les éléphants les plus gros. Ils sont caractérisés par des défenses petites et fragiles, ce qui est probablement dû à la carence en calcium des sols. Les dégâts causés par les éléphants sont très importants dans certaines zones. En réalité la surpopulation est telle que des battues ont été envisagées mais elles ont fait l'objet de controverses et le projet a finalement été abandonné. À la saison sèche, les éléphants séjournent près des rivières Chobe et Linyanti. À la saison des pluies, ils migrent de 200 km vers le sud-ouest du parc. Leur habitat dépasse les limites du parc et s'étend sur la partie nord-est du Zimbabwe.

peu après l'entrée dans le parc, nous sommes accueillis par des babouins qui se prélassent sur la piste


regard à travers les feuilles


nous sommes arrivés en vue de la rivière Chobe et sommes entourés d'antilopes. La différence de taille entre le grand koudou mâle et les femelles impala est considérable


pygargue vocifère


baby éléphant


le nid de ce couple de vanneaux armés ne devait pas être loin à voir leur manège autour du marabout d'Afrique


le soleil va bientôt se coucher, une girafe passe


nous sommes au bord de la rivière Chobe. De l'autre côté c'est la Namibie...les troupeaux d'éléphants passent indifféremment d'un pays à l'autre


nous voici à la porte Ngoma


francolin à bec rouge


cossyphe de Heuglin


lion près de la rivière Chobe

Les babouins ,la girafe et les couchers de soleil avec girafe et éléphants sont magnifiques
Dominique

Le voyage continu avec de beaux couchers de soleil et de superbes animaux. Il est vraiment beau ce Cossyphe, ils me manquent tous ces piafs africains

Babouins en 109 et 110, 113 l'éléphanteau, 116 coucher de soleil avec le troupeau d'éléphants, 119 le Cossyphe de Heuglin et Monseigneur le Roi en 120 sont mes préférées dans cette dernière MAJ toujours aussi intéressante.

Merci pour l'historique de ce parc, Alain! Des images encore une fois superbes et qui font rêver... Un plus pour les babouins, les deux couchers de soleil avec girafe et éléphants , le cossyphe de Heuglin et le lion dans son domaine

110,115 et 116 sont mes préférées. J'ai pris le temps de lire le préambule toujours intéressant de connaître les lieux visités.

109 et 110 sont mes 2 coups de cœur , mais j'aime aussi beaucoup les 2 couchers de soleil et le Cossyphe

Je joins mes louanges à celle des autres intervenants. De très belles images et des ambiances de rêve
Le Botswana reste une destination animalière d'exception.
Cordialement.
PaulC