Concernant les comportements alimentaires, le babouin comme espèce omnivore est opportuniste et est capable d’exploiter différentes niches écologiques pour trouver sa nourriture. Il peut se nourrir d’ une grande variété de plantes (feuilles, herbes, racines, fleurs, fruits, lichens, tubercules, graines, champignons), d’invertébrés (insectes, araignées et scorpions) et de petits vertébrés.

73 et 74

75 et 76

77 pour terminer la série sur les Babouins.

Quels regards ces Babounes!
Tes photos sont sublimes et tes commentaires très instructifs

Suite toujours de grande qualité .
Dominique

Tes connaissances en éthologie nous valent, Robert, non seulement des textes documentés, mais aussi de très belles images en adéquation avec les propos tenus. Cette série de portraits est magnifique tout comme celle qui illustre les comportements alimentaires!

Belle série de portraits de Babouins très expressifs

Jolis portraits en effet

En accord sur toute la ligne avec Michel
69 et 71 sont mes 2 coups de cœur

Merci Dominique, Joëlle, Robert, Jean, Georges et Michel pour vos commentaires bien sympa !

Retour vers les oiseaux dans la série suivante. Nous sommes allés à la recherche de Guêpiers. Le guide nous a mené sur un spot où ils avaient déjà été observés. Dans la série qui suit, quelques images du Guêpier à front blanc (Merops bullockoides) au plumage très coloré comme beaucoup d’oiseaux de la famille des Méropidés. Les études ont montré que les guêpiers à front blanc vivent dans des groupes familiaux élargis formant un clan, monogame, composé de générations qui se chevauchent et qui ont la particularité de présenter un mode d’élevage coopératif. Les non reproducteurs qui assistent les couples reproducteurs (plusieurs couples peuvent se reproduire simultanément) peuvent représenter jusqu’à 50% des individus du groupe et le degré d’implication dans la coopération est fortement dépendant du lien de parenté entre individus reproducteurs et non reproducteurs. Les actes d’assistance se manifestent aussi bien au moment de la nidification (e.g. creusement de la chambre de nidification) que lors de l'alimentation de la femelle et des jeunes de la couvée, contribuant ainsi à l'augmentation du nombre de jeunes produits.


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Des oiseaux plus communs qu'il est difficile de ne pas croiser lors de safaris sont les Grues royales (Balearica regulorum). Ce sont des oiseaux monogames vivant le plus souvent en couples stables pouvant évoluer au sein de groupes de plus d’une dizaine d’individus. Les Grues sont bien connues pour leurs parades nuptiales élaborées faites d’inclinaisons/ saluts synchronisés, de lissage mutuel des plumes, de grands sauts, de petites courses, le tout ponctué de diverses vocalisations.

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Pour terminer cette série, un oiseau à la morphologie singulière déjà rencontré lors de notre séjour à Baringo mais dans un biotope très différent, l'Ombrette africaine (Scopus umbretta). C'est un oiseau habituellement considéré comme sédentaire et territorial. Son menu est constitué principalement de têtards et de grenouilles, mais elle ne dédaigne pas non plus les insectes, les crevettes et les poissons.

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