La 337 pour moi.

François

Une belle série diversifiée. J'aime bien les monochrome en contre jour.

Merci à vous Robert, François, Joëlle, Chris, Dominique, Ninette, Jean, Michel, Sylvain, Alain, François et Georges...


Si ça peut te rassurer, encore quelques maj et c'est fini

Je me suis souvent demandé si tu gardais toutes les photos que tu nous présentes ? (pie-grièche, sitelle, chamois). Parce que beaucoup sont très redondantes (sans l'histoire connu de toi seul qui colle sûrement à certaines) et j'imagine que tu ne nous présentes pas toutes les photos que tu as faites.

Pour le brame 2020 j'ai gardé très exactement 2433 photos. J'en ai peut être viré un bon millier...
Malgré mes longs fils, je ne présente qu'une toute petite partie des photos que je fais et j'en vire une grande quantité. Pour les pies grièches, quand le nid était à côté de chez moi, il m'arrivais de faire plusieurs centaines de photos en une soirée quand les jeunes sortaient du nid et qu'ils restaient dans les arbres autour de ma maison...

Ouf.... ha ouais quand même

Merci pour les infos

Le quatorze cors va disparaitre sur l'horizon. Les pentes sont vides et je décide d'aller vers le fond de la vallée, sur le territoire du dix aux yeux vairons. Arrivé à destination, j'étudie le terrain à la jumelle, il n'y a rien.
Finalement, je monte tout en haut, ce que je n'avais pas prévu de faire, et je reviens dans l'autre sens.


Revenu plus loin que mon point de départ, mais bien plus haut, je retrouve les animaux. Ils sont en dessous de moi. Il y a là, le dix cors maitre des pentes, le douze cors qui s'était battu avec lui (voir une maj précédente ), un autre douze cors, plusieurs jeunes cerfs et des biches.
J'ai l'avantage d'être en dessus d'eux. Ils ne se méfient pas trop de ce qu'il y a en dessus car ils ont tellement l'habitude de voir monter les bipèdes de dessous.
Comme le temps n'est pas au beau, je profite d'une nappe de brouillard pour descendre vers eux. Le douze cors que je ne connais pas est à la poursuite d'une biche.


Ils partent vers l'extérieur de la vallée et je les laisse aller. De l'autre côté et à mon niveau, il y a l'autre douze cors et des biches qui eux, se dirigent vers l'intérieur de la vallée. Ils vont vers une petite forêt clairsemée. Un rayon de soleil arrive et une biche vient se placer juste au bon endroit.


Le cerf n'est pas loin derrière et je me prépare pour quand il arrivera au même endroit.


Malheureusement, un brouillard a couper au couteau m'enveloppe et je ne vois plus rien quand il se décidera à partir, il n'y a plus rien. La tête d'un daguet apparait à l'horizon.


Le temps passe, plus rien ne bouge. Je décide donc de me déplacer vers la petite forêt où étaient le douze cors et les biches. Soudain, le quatorze cors vu le matin passe en lisière de la forêt en dessous.


Je continue d'avancer. Et puis, il y a un cerf sur une crête devant moi


Il s'agit d'un jeune dix cors


il s'étire...


...puis, il va renifler le postérieur d'un faon qui est légèrement plus haut


J'ai l'impression d'avoir entendu bramer dans un creux devant moi et plus bas. Le jeune dix cors va dans cette direction.


J'attends pour voir si quelque chose va bouger. Loin vers l'intérieur de la vallée, il y a un cerf.

Elles sont peuplées tes montagnes, Alain, mais s'approcher de ce petit monde se mérite, si j'en crois les nombreux déplacements que tu nous décrit .... Un texte une fois encore immersif et de belles images, au style varié. Un plus pour les 349, 351, 353 et 360 pour ces têtes de cervidés en images quasi subliminales, et la série 355 à 358!

La série de 355 à 358 a ma préférence aussi, avec l'effet de pente très bien rendu

Vu mon penchant pour la verdure , c'est la 354 qui me convient le mieux.

François

une bien belle mise a jour avec une pref pour les 349 et 357

En regardant ta dernière mise à jour, je me faisais un peu la même réflexion que Joëlle: On a l'impression que c'est assez facile de croiser des cerfs chez toi. Un peu comme les chevreuils chez nous mais en plus gros. J'imagine que la réalité est un peu plus complexe.

Très belle série

Etre là où il faut quand il faut, c'est un peu le résumé de ce que je ressens quand je vois tes images. Mais, comme le dit François, c'est surement un peu plus complexe en vrai.

Encore une belle série. La dernière m'a fait penser à "chercher l'intrus"