De belles rencontres avec des espèces comme le Blaireau et le Castor pas faciles à observer et à photographier en espérant que d’autres images suivront.

Robert

Merci Rémy et Robsou pour vos regards et vos commentaires. Demain, septième jour, nouvelle publication de castors photographiés hier lundi entre 20 h et 21 h 30. A demain les amis

Comme promis, lundi soir je suis retourné à l'affût aux Castors et, fort de ma première expérience, j'avais laissé mon 500 mm à la maison pour n'emporter avec moi que le 70-20. Grave erreur ! Cette fois-ci les Castors se trouvaient à portée du 500. J'y suis donc retourné mardi soir en emportant 500 mm et 70-200. Comme la veille, à part quelques exceptions, les Castors se trouvaient à portée du 500 et c'est quelques photos de ce soir là que je post aujourd'hui (celles de la veille sont trop cropées).
Fait rare, ce mardi les Castors sont arrivés en même temps que moi à 19 heures et sont restés en ma présence jusque 20 h 15. Cela m'a permis de commencer les prises de vues à 1600 iso et de les terminer à 6400 iso. Sympa, non ! Pendant ces prises de vues j'ai eu la sensation que les Castors avaient conscience de ma présence mais qu'il l'acceptaient.

Le bois constitue une source de nourriture importante du Castor européen.





L'entretien de la fourrure est très importante et le Castor y consacre beaucoup de temps.







Les pattes arrières du Castor sont palmées alors que les pattes avant , avec leurs doigts, sont de véritables petites mains préhensiles.



Le petit à rejoint maman pour une partie de câlins.







La nage typique du castor, dessus du corps entièrement sorti de l'eau contrairement au ragondin qui ne sort que la tête de l'eau

Superbe ! Comme quoi la persévérance paie !

Une très belle observation, Georges, dans la durée et avec une variété d'attitudes qui font de ces images des documents tout autant que de belles prises de vues en particulier les 107, 108, 109, 110, 114 et 115

Superbe et intéressante série, il manque juste la queue que l'on devine dans l'eau quand il nage.

waou très bien vue, la patience paye ,c est très beau et attendrissent avec leur petits

Excellent.
Bravo pour ta ténacité, elle est bien récompensée.
Je retiens plus particulièrement les N°s : 108 , 110 et 111 ( pour une tête mieux visible ) ainsi que les 114 et 115 ( pour la scène de vie familiale ).

François

Merci Chris, Joëlle, Jacques, Jean, et François pour vos regards et vos commentaires.



Eh oui, le castor est un animal prude qui ne montre pas sa queue à tout le monde et c'est pourquoi j'ai posté ces photos de nage où la queue plate (ronde chez le ragondin et triangulaire chez le rat musqué) est visible. Sur les photos faites au 200 mm, j'avais la naissance de la queue plate mais je ne désespère pas de le photographier avec la queue visible.

Je ne sais pas si c'est dans le madon qu'il se trouve mais il est effectivement présent depuis plus de 10 ans maintenant dans cette rivière.
Je trouve que tu as une chance incroyable de pouvoir le photographier dans de telles conditions et tu nous en fait parfaitement profiter.
Merci à toi.

Le castor est un animal pas souvent photographié, les scènes que tu présentes doivent être encore plus rares...très belle série

Alain

Bonjour



Alors là respect Photographier le castor ne doit pas être simple mais là en plus tu nous présentes de superbes images de la vie des castors

Bravo et bonne continuation


A+ Stéphane

[quote="blizzardbeast"]Le castor est un animal pas souvent photographié, les scènes que tu présentes doivent être encore plus rares...très belle série

Alain

[quote="stef73"]Bonjour
Alors là respect Photographier le castor ne doit pas être simple mais là en plus tu nous présentes de superbes images de la vie des castors
Bravo et bonne continuation

A+ Stéphane

Merci François, Alain et Stéphane pour vos regards et vos commentaires.

Pour répondre, je confirme effectivement avoir photographier les castors dans le Madon, une rivière qui coule non loin de chez moi et qui n'est pas facile d'accès. La rivière s'étire en bas de berges profondes et est difficilement accessible à cause d'une ripisylve dense et non entretenue d'une part et de la profondeur de la rivière d'autre part. J'ai souvent renoncé à photographier les castors que je piste depuis 2013 parce que j'étais obligé de photographier en plongée, ce que je déteste.
Je viens de trouver un spot où je peux enfin être au niveau de la rivière sans trop de difficultés, après avoir taillé les orties hautes, pour mon plus grand plaisir.
Pour être complet sur le sujet, c'est le Castor qui m'a fait venir à la photo animalière. Ayant repéré en 2013 des traces de présence (réfectoire, garde manger, sortie de secours de terrier) sur le Madon, j'avais décidé de m'essayer à la photographie animalière. Les nombreux affûts que j'avais monté chaque soir ne m'avaient pas permis d'aboutir alors je me suis orienté vers le Martin Pêcheur qui se posait non loin et j'ai pris goût à la photo animalière.

Une persévérance qui t’a conduit à obtenir des images de toute beauté et à faire partager le plaisir d’admirer ces belles scènes rares et intimes de la mère envers son petit !

Robert

Bravo pour ces très belles images et ta persévérance .