Je m'en doutais un peu car j'imagine la difficulté à la réussir et c'est le genre de challenge qui te motive .
Dom

La 1827 me fait penser à deux sumo avant un combat.
C'est tout à fait exquis.

Ben merde tu n'as pas vu la vierge bon on se contentera des tétras...c'est vrai que les conditions n'ont pas l'air faciles. Il faudra que je tente une fois d'y aller le soir, ça a l'air de bien le faire...

Alain

Wow malgré la lumière compliquée tu nous sors une très belle sérié je trouve avec notamment les 3 premières photos qui me plaisent énormément

Merci Robert

Une très belle série La 1827 est superbe.

Pour en avoir vu....à la télé....j'imagine ce que l'on doit ressentir avec ces oiseaux à proximité; on est tous envieux.....Amicalement.....Daniel

Un pur bonheur que de découvrir cette suite riche en attitude dans des conditions difficiles.

Plus l'heure avance et plus les oiseaux se calment. Je déclenche de temps à autre tout en cassant la croûte. C'est pas mal de manger quand on y voit encore quelque chose

1838


1839


1840


1841 - De temps à autre les oiseaux montent dans le mélèzes pour manger les jeunes pousses.


1842


1843


1844


1845


1846


Je vous donne rendez vous après ma nuit dans la montagne où seule la Tengmalm donnera de la voix à proximité du bivouac.

Des gros plans (rares chez toi!) spectaculaires, Robert, en particulier ces pas de danse aux résonnances de french-cancan comme dit Alain/49 (1839,1844), auxquelles j'ajoute la 1843! Et des perchés lumineux (1841, 1842, 1846).
Chouette d'avoir la Tengmalm pour te bercer lors de tes nuits de bivouac!

Superbe, cette alternance de plans larges et rapprochés avec des images tjs aussi spectaculaires.

Impressionnante proximité...j'aime bien celles où il est branché, c'est rare de les avoir comme ça de si proche

Alain

superbe comme d hab avec des proximités incroyables

la on voit que tu t'es fait plaisir et par la même occasion ça me va très bien. On dirait qu'avec la lumière qui baisse les images sont plus "lisibles" (nuances dans les plumages). C'est toujours aussi bluffant tes MAJ.

Qui peut dire qu'il a souper devant des tétras ? Robert bien sûr, pour un repas de roi ! Que je t'envie ces moments où plus rien n'a d'importance et où l'on se contente de savourer le fruit du travail effectué en amont. Pour le vivre avec "mes" cerfs je sais le Bonheur que procure de tels instants où le photographe devient spectateur et j'imagine que ta nuit fût douce. Si en plus les chouettes sont avec toi, heureux présage, cela nous laisse augurer un matin resplendissant !
Parmi toutes ces superbes photos, je crois que je vais m'endormir avec la 1842 !

Je partage en tous points ce commentaire et ne saurait dire mieux .
Je rajouterai la 1838 pour comme le signale Jacques un lumière déclinante qui permet une parfaite lecture des nuances et détails du plumage .
Dominique