Bonjour Jacques tu as de la chance d'avoir les Grosbec a la mangeoire, chez moi nada ;
belle série

De belles images de bêtes à plumes ou à élytres sur ces dernières pages ! Le gros-bec est superbement valorisé grâce à ce bokeh...il reste à mes yeux un des plus beaux oiseaux de notre avifaune ! Bravo Jacques !

De belles images de Verdier et de Gros-bec, deux passereaux que j’aimerais bien voir dans mon jardin. La 1829 du Gros-bec que je trouve la plus originale pour l’attitude sera ma préférée.

Robert

J'aime beaucoup les images de grosbec

Encore une jolie mise à jour ! Si je suis toujours sensible aux plumes, ce sont bien les habitants des forêts qui m'intéressent en premier lieu. Tes photos me donnent envie d'aller en forêt et d'y rencontrer ce petit monde !

Merci pour vos retours et appréciations.

1831 – Encore un affût de 3 heures pour voir les mâles gros becs avec leur bec bleu acier…et bien ils sont restés au dessus de la tragopan à faire leurs cliquetis secs par trois fois sans vouloir descendre ! Seule une femelle s’est présentée.


1832- pas de mâle pinsons du nord non plus, voici une femelle.


1833- assez craintive d’ailleurs.


1834- la zone sous les sycomores et charmes de cette longue haie est aussi fréquentée par les merles et grives qui retournent les feuilles mortes à la recherches de vers de terre. Grive mauvis.


1835- un petit rouge gorge pour compléter ces quelques oiseaux.


1836- Je suis retourné en forêt pour inspecter de nouvelles souches et avant d’y pénétrer, à la surface d’un tronc en décomposition, une mérule tremblotante s’étalait. Difficile de résister quand on aime aussi les champignons. Merulius tremellosus - mérule tremblotante,
Les pores forment un labyrinthe aux sillons peu profonds.


1837- un autre spécimen plus rosé. C’est une espèce qui dégrade le bois en se nourrissant de sa cellulose.


1838- très fréquent quand on soulève les écorces du bois mort, L’aselle des murs- Oniscus asellus est un arthropode. Ce cloporte est le seul crustacé terrestre.


1839 – difficile de l’arrêter quand il est au contact de la lumière qu’il fuit.


1840- Celui-là est un myriapode. Lithobius sp . Une trentaine d’espèces rien que pour le Massif Armoricain, je ne suis pas assez équipé ni spécialiste pour aller jusqu’à l’espèce. En tout les cas il n’a pas mis longtemps à se mettre à l’ombre !


1841- C’est pour eux que je fouille les souches, encore une nouvelle espèce pour moi, la féronie commune - Pterostichus niger . Ce carabe est un super prédateur, il dévore pucerons, diptères et larves de coléoptères.


1842- c’est tout pour cette fois.
.

Ton affût a quand même fonctionné même si tu espérais les mâles plus colorés.

Pour la suite, çà devient très pointu avec des champignons et des insectes confidentiels. Bravo pour ta découverte d'une nouvelle espèce de coléoptère. J'imagine que la liste est longue que se soit ceux que tu as déjà trouvé et ceux qu'il te reste à trouver. Un sacré programme

de beaux oiseaux mais c est quant même ton savoir sur les insectes et invertébrées qui m intéresse

Des oiseaux superbes avec toujours autant de plaisir de voir une mauvis
Et une femelle pinson du nord parfaitement mise en image mais c'est ton grobec qui crève l'écran dans une parfaite harmonie de couleurs et un floutage assez réussi
Dom

Une belle série variée. Je rêve de voir autant d'oiseaux en si peu de temps, chez moi c'est le désert !

Le naturaliste dans ses oeuvres

Bonjour


Superbe ces oiseaux Moins sensible sur les autres images


A+ Stéphane

1831, 33 et 35 pour moi dans cette série...mieux vaut ne pas avoir cette mérule chez soi...

Alain

En fait beaucoup moins destructrice que ses cousines Serpula himantioides et Serpula lacrymans (Mérule pleureuse) qui attaquent les bois dans les habitations où règne l’humidité.

Agréable collection de plumes.

Francois