Salut,
Je partage quelques clichés sans prétention de mon "premier" brâme du Cerf.
J'ai fait un saut en Lozère le w-end passé pour rejoindre deux compères du coin, pour une initiation à la "photographie du brâme".
L'accès aux places intéressantes ne se fera pas sans effort (enfin pour mon niveau physique).
Et il nous faudra marcher qques km dans une forêt noire. Les braillements gutturaux dominent la forêt tout autour de nos déplacements.
Nous sommes sorti le samedi et le lundi. Le dimanche j'ai du récupérer physiquement, n'ayant pas l'habitude de crapahuter une journée. Rester 5 h assis sans bouger combiné à des déplacements à pas de loup à travers la forêt.
Moments intenses qui ont marqués l'homme
Deux jours c'est peu pour avoir suffisamment d'occasions de réaliser de belles photos, je pense.
Je n'ai rien vu sur les deux après-midi d'affût. Mais vivre ces moments, dans une nature si belle à écouter vibrer la forêt, suffisent à ne pas regretter le déplacement.
Bon, passons aux souvenirs photos.
Le moment le plus intense fut ce beau Cerf qui nous observait alors que nous nous installions au bord d'une belle clairière. Le soleil n'étant pas encore levé.
Il s'est approché de nous par curiosité et s'est retiré en tirant la révérence.
Matos : nikon z8 et nikon 500f4. J'ai du monter à 12800 isos vitesse 1/160 à main levée.
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La même photo mais en paysage. Je n'ai pas encore trouvé de préférence.
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L'autre matinée, un peu plus de lumière le matin. La hauteur des graminées a été ma plus grande contrainte et j'ai eu pas mal de déchets car l'AF se fixait souvent sur ces graminées.
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Un Chevreuil s'est invité
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Ambiance de brume au petit matin
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Le deuxième jour, après qques heures d'affût, un jeune mâle s'est présenté dans la clairière.
Lumière parfaite et ambiance "Savane africaine". J'ai pesté car l'AF n'arrivait pas à accrocher le sujet à cause des graminées (faut pas croire ce que les constructeurs et les "testeurs" sur les réseaux soc. vantent sur le matos sois-disant high tech).
7 J'ai du changer de place et me mettre plus en hauteur.

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9 une dernière

Gengoux

Des images qui témoignent de l'intensitė émotionnelle de cette expérience du brame du cerf, Gengoux. J'aime bq les 3, 5, 7 et 9, où l'apparition de l'animal a travers la végétation donne du sens et de la force à la prise de vue

l'essentiel n'étant pas d'avoir ressenti plein d'émotion! la dernière est sympa. Il y a aussi l'alternative de la MAP manuelle quand l'AF déconne!

Tu as raison, rien que pour l'ambiance, cela valait le déplacement et tes commentaires le partagent bien.
Malgré tes difficultés d'accroche AF, de belles photos d'ambiance et un pour 1, 4 et 9

Je retrouve les moments passés en Aubrac au mois de juin grâce à l'ami François (raires en moins) mais crapahut ,affût long et passionnant ainsi qu' émotions garanties .
Quand tu ne peux pas accrocher à cause d'éléments qui s'interposent ,fais la map en manuel
De superbes témoignages malgré tout 2 3 5 7 et 9
Dominique

bravos pour ce premier brame avec un coup de cœur pour les N4 N9

Très jolie série, toute en douceur et poésie.

Gilles

Bonjour


Une série intéressante et qui démontre la difficulté de faire des photos au brame
Tu t'en sors bien avec ces images


A+ Stéphane

Ils en ont de la chance tes deux compères de pratiquer quotidiennement de tels environnements, et de crapahuter dans de telles forêts ( qui ne sont noires que de nuit ).
Tout de même, traiter le cerf de "braillard" n'est pas très respectueux pour le roi de la forêt.

La dernière ( N° 9 ) me plaît bien.

François

Merci pour ton passage cher "compère" d'un w-end ....
Gengoux

Pour une première ce n'est pas si mal, tu as fait quand même quelques clichés sympas, et emmagasiné de beaux souvenirs

Merci Christine,
Oui je ne regrette vraiment pas ...
Gengoux

Le brame et ses ambiances........je t'envie.....Amicalement ...Daniel

Assurément de bons souvenirs pour une première ! La 9 est pas mal du tout et c'est vrai qu'il ne faut pas oublier de débrayer l'autofocus quand la végétation et dense et haute.

Pour ma part, s'il s'agit d'un cerf je vise rarement l'oeil, mais plutôt les bois. Ce sont de bonnes cibles bien contrastées, peu sensibles à l'orientation de la lumière ( au contraire de l'oeil ) et rarement submergées par l'environnement ( sauf quand il lève le museau pour"bramer" ). Pour ce genre de prise de vue ( focale , distance du sujet ) la profondeur de champ est telle que la tête reste entièrement dans la zone de netteté.
Pour les biches cela peut être plus compliqué : plus facilement submergées par l'environnement et têtes moins contrastées.

François