Bonjour Florent , alors j'ai loupé la série précédente qui est somptueuse , un régal , j'ai un faible pour ton Moqueur roux , le Cardinal à poitrine rose et le bien entendu le pic a ventre roux . Ta série sur les parulines est divine et je partage aussi ton opinion sur la Paruline tigrée quoique la paruline à capuchon me plait très bien aussi .


Bonne journée Florent et encore merci pour ce reportage autre Atlantique .

C'est la fête des parulines! Qu'elles soient orangées, tigrées, à capuchon, à joues grises, à calotes noires, à collier...., tu nous apprends bien des choses sur elles et notamment qu'elles son emblématiques en Amérique,. Des coches pour toi, Florent, des découvertes pour la plupart d'entre nous!

Merci à tous les cinq pour vos commentaires.
Pour répondre à Dominique, je suis loin du compte, 25 cochées et 5 supplémentaires vues et pas prises en photo car pas possible ou qui aurait donné une photo trop pourrie (j'ai jeté du cul de verdâtre, de la ailes bleues dans trop de branches, idem pour la des ruisseaux).

C’est un régale toute ses espèces que je découvre ça me donne envie de rendre visite a ma marraine de Toronto

Florent
Encore une sacrée diversité et ce festival de parulines multicolores .......du Canada ou d'ailleurs

Superbe
François

Franck et François.

C’est parti pour la deuxième salve de Parulines. Comme pour la première il va y avoir du plan sérré ou des branches, c’est le jeu.

La première de la mise à jour est sans conteste celle que l’on a rencontrée le plus, une des plus communes de la famille, la Paruline jaune. Au-delà d’être commune, il semble qu’elle ait moins la bougeotte que les autres, enfin tout est relatif.

55 Paruline jaune mâle.


56 Idem



Une des dernières que nous avions vue chemin du Vide après avoir cherché un moment, c’était la Paruline bleue, photo minable à la clé. Cette fois c’est un poil mieux, il faudra réessayer pour de la photo aboutie.

57 Paruline bleue


58 La Paruline à gorge noire est un de celle rencontrée le plus couramment, comme à Québec l’été dernier, ici pour une fois au sol.


59 Une des particularités de la Paruline flamboyante est son dimorphisme sexuel, la femelle est majoritairement grise et jaune alors que le mâle est noir, blanc et orange fluo.


60 Certaines Parulines passent leur vie tout en haut de la canopée, de fait pas très pratique pour la photo. En migration il est parfois possible de faire quelques photos de plus bas, comme avec ces Parulines à gorge orangée. Ici le mâle qui passe d’une branche à l’autre.


61 La femelle, un peu moins colorée.


62 Une de mes chouchoutes maintenant, plan serré de la Paruline à flancs marron pour éviter le fatras végétal.


63 Une autre plus dégagée.


64 La dernière que je vais vous présenter, c’est une que l’on croyait, à tords, avoir rencontrée l’été dernier, au final la couleur des pattes nous avait donné la solution. La Paruline rayée est une des seules à avoir les pattes jaunes, voir la seule à les avoir si orangées. Si le mâle ne pose pas de problème d’identification, pour la femelle, plutôt jaunatre-verdatre, c’est une autre histoire, et les pattes ont alors toute leur importance.
Paruline rayée mâle


65 Idem


Voilà, le livre des Parulines se ferme pour ce voyage, espérons que d’autres chapitres viendront un jour rallonger l’histoire.

C'est vrai que celle à flancs marrons est très sympa...en tous cas elles sont diverses et variées ces parulines et tu en as rencontré un paquet...

Alain

sublime reportage,je me délecte de toutes ces magnifiques espèces que tu mets si bien en valeur ..magnifique!!

Sublime Florent, bravo pour toutes ces belles Parulines

Effectivement une sacrée différence par rapport à l'an dernier .Tu as amélioré ton pishing
Une proximité et des photos superbes
Tu te payes même le luxe de réaliser des vols (paruline jaune)
Bravo pour la bleue
La paruline à flancs marron était aussi ma chouchoute .
Bonne illustration pour la rayée
Dominique

Je prends ce fil en retard et suis admiratif comme Robert dans son premier commentaire pour le nombre d'espèces rencontrées avec de belles images à la clé. J'ai particulièrement reluqué les limicoles, les bruants et Pics, je ne connais pas les parulines, donc elles m'impressionnent moins, la collection semble tout de même intéressante. La 41

Alain, Sophie, Michel, Dom, Jacques et merci pour vos commentaires.

De superbes oiseaux ces parulines et ton inventaire est impressionnant, Florent! Avec des images d'une qualité qui doit être soulignée, dans de telles conditions de prises de vues!

Je profite d'un passage à la médiathèque de Douarnenez pour faire un petit tour au Canada. Je trouve tes deux séries très sympas et surtout très agréables à regarder. Ça change beaucoup de choses quand on en a déjà croisé et surtout çà permet de mesurer la performance pour arriver à les cadrer.
Je constate que tu as eu (enfin) la P. couronnée, et la P à calotte noire. Apparemment se sont des espèces qui ne changent pas de plumage au cours de l'année puisque j'ai les mêmes oiseaux à l'automne. Encore une fois, bravo pour cet ensemble

Merci à tous pour vos messages.

Robert, la couronnée n’est pas une coche, je l'avais eu à 50 mètres de notre cabane.

Il me reste de quoi faire une ou deux mises à jour, mais moins thématiques.

66 Le Roitelet à couronne rubis est un cousin des nôtres et pour une fois la caractéristique de son nom ne saute pas forcément aux yeux, sa couronne n’étant pas souvent visible.



67 Le Roselin familier nous avait échappé en Aout, nous nous étions contentés du Roselin pourpré, ici une femelle, le mâle a un plumage beaucoup plus chatoyant.


68 En prenant cette photo du Troglodyte de Caroline j’ai pensé à Jacques, notre spécialiste des clichés au nid. Il existe bon nombre d’espèces de Troglodyte là-bas comparé à notre seul mignon, une famille à creuser pour un prochain voyage peut être.


69 Question Hirondelle, il y aussi de quoi faire mais j’avoue que je ne m’y suis pas penché réellement, j’aurais pu faire 2 ou 3 coches supplémentaires, je vous présente tout de même l’Hirondelle bicolore.


70 Le Moucherolle phébi doit son nom à son chant, nous l’avions souvent vu au Québec en croyant voir un Pioui, de fait le Pioui je ne l’ai toujours pas coché mais ce spécimen de phébi a bien voulu se laisser approcher. Désolé pour le plan serré encore une fois mais la branche n’est pas toujours un élément esthétique.


71 Avec ce Moucherolle à ventre jaune, j’ai fait cavaler pas mal de monde. Il semble que ça ne soit pas un oiseau courant et en voyant mes photos pour valider l’identification, les personnes sont parties au galop vers le lieu de prise de vue. La chance du débutant.


72 Le Tyran triti est un des rares à ne pas être super farouche (relativement) et se trouve dans les endroits découverts plutôt qu’aux fins fonds des bois.


73 Je suis content de ce Chardonneret jaune pris un jour de pluie, je n’avais jamais réussi une photo montrable avant, pourtant il est très commun.


74 Le Gobemoucheron gris-bleu est pour moi un des piafs les plus photogéniques que j’ai rencontré, quasi impossible de rater une photo contrairement au précédent, pourtant il a la bougeotte mais il doit parfaitement convenir aux cellules de nos APN.


75 Je conclus cette mise à jour avec la tradition, même là-bas elle est respectée, locale mais respectée, qu’on se le dise.