En effet, des très belles images. Bravo

Non Jacques, je n'ai pas remarqué un comportement moins craintif des oiseaux terrestres.

Merci à vous pour vos commentaires.

Si vous êtes d'accord de voyager encore un peu avec moi, je vous présente ci-après quelques images de la série "en vol".

La difficulté pour nous provenait du fait que pour des questions de limitation de poids de nos bagages, (nous avons déjà opté pour un supplément) il ne nous a pas été possible d'emmener avec nous le 400mm. Et pour les treks, le choix entre la tente et le 400 a été vite fait Dès lors nous avons travaillé au 200mm f 2.0 plus multi ou au zoom 70-200 f 2.8.

Première série de 4 images

No 20 Poursuite (phalaropes à bec étroit)

No 21 Sterne arctique

No 22 Fulmar boréal

No 23 Gros plan sur le Guillemot à miroir

bien de la chance d'avoir assisté à cette poursuite de phalarope peux tu expliquer aux lecteurs la particularité du plumage de cette espèce le guillemot me fait bien envie aussi.

Très belle image, cette poursuite, Pierre Yves! et, malgré ton matériel, une proxi étonnante pour le guillemot à miroir!

Salut

Super suite pour moi la poursuite et le Guillemot sont au dessus même si le fulmar gris sur gris est très joli

super la 17

Oui, volontiers. Contrairement à la plupart des autres espèces d'oiseaux, la femelle est plus grande et plus richement colorée que le mâle et c'est elle qui le choisit

Merci à tous les intervenants qui suivent mes mises à jour

Oui bon en même temps je n'ai pas le droit de me plaindre car le 200mm f2.0 est un outil magnifique d'une qualité optique extraordinaire.

Nous avons dû nous adapter en procédant à des repérages préalables, puis à des minis-affûts. Pour le phalarope, par exemple, nous les avons observés avant de retourner sur place deux jours plus tard pour réaliser une série d'images.

Pour réaliser la photo du guillemot, j'ai souffert du froid. Après plus de deux heures en plein vent je n'avais plus de sensations au bout des doigts mais je voulais absolument réussir une image en vol. J'avais repéré que plusieurs spécimens passaient assez régulièrement juste derrière un rocher derrière lequel je pouvais me cacher. Voilà pour les explications.

Pour en revenir aux conditions de prises de vues, je dois dire que la photo qui a nécessité le plus de ressources morales et physiques est celle du macareux sous la pluie. Nous avons dû affronter un vent glacial, d'une force incroyable et des pluies très fortes. A la fin de la séance photos, nous étions détrempés et transits.

Mais tout ceci est vite oublié tant le spectacle offert par la nature et les oiseaux est grandiose.

Encore une belle suite, +1 pour le Guillemot en vol !
C'est là qu'on se dit qu'un p'tit 100/400... Ca passe partout !

le 100/400 n'existe pas en nikon

Il semble que tu n'ais pas été handicapé de voyager léger...j'aime beaucoup la 20 pour l'action et l'environnement...

Alain

Ah merde !!!
80-400mm alors ! Même ordre de prix, mais étant canoniste je ne sais pas ce qu'il vaut.