Wow les photos 444 et 446 sont vraiment superbes, j'adore François, merci beaucoup Magnifique mise en valeur dans ces genêts...

J'aime bien la dernière

Je me demandais où tu étais passé, François! Malvenue en effet cette panne internet, en cette période où tout lien avec autrui prend toute son importance...
Te voilà donc de retour, avec une MAJ à la qualité constante, commençant par une intéressante image d'un squelette de biche et continuant par une très belle série (443 à 447)!
Quant à la 448, je reconnais le personnage à la barbe et aux lunettes! (Dans les rues de Morlaix, avec une telle tenue, tu aurais fait sensation! )

Heureux que ce ne soit qu'un soucis de connexion et pas de contagion !
Une belle suite dans laquelle je retiendrai la 446 et la dernière car un vieux cerf qui ravale n'est pas image commune !

Un vieux briscard qui doit bien avoir chaud avec toutes ces couches et un vieux cerf superbe. Bravo pour ces photos.

444, 446 et 447 ont ma préférence sur cette mise à jour, mais j'aime aussi la photo plus ancienne de ce paysage nord lozérien
Pour la coche finale, je pense qu'il faut voir avec les PDS si une topette est envisageable

Une sortie sympa (sauf pour la biche) et j'adore les photos du cerf majestueux et puissant notamment sur les 442 et 443

Merci à vous , Alain , Yannick , Marie , Vincent , Robert , Joëlle , Christophe , Jacques , Jean et Georges.

François

Je me disais bien qu'il t'était arrivé un truc!
J'attends toujours tes retours de brâme avec grand intérêt. Je suis donc rassuré que ce soit ta liaison internet qui a eu des soucis!

Comme tu nous y a habitué, c'est super tant par les textes que par tes photos. Je flashe surtout sur 442, 444, 445, 446 et la bonne bouille en 448

Merci Michel.

Voici la suite de ce reportage sur mon brame 2020.
Rappel : en forêt de l'aube au crépuscule, j'avais débuté ce 28 septembre par un affût très matinal où m'était apparu dans les genêts ce beau cerf 12 cors qui annonçait une journée très fructueuse.

François

Après avoir déjeuner puis m'être un peu reposé à la mi-journée, je repars vers l'affût BO18 équipé du Z6 ( hybride plein format ) + Nikon 200-500 mm.
En arrivant près de la clairière, j'aperçois un photographe en uniforme, posté en lisière, presque à l'opposé de mon propre affût ( Un photographe venant du Cantal, si je me fie à l'immatriculation du véhicule vu un peu plus tôt sur le chemin ).
Après une heure de calme, les raires se font entendre de nouveau, de plus en plus proches. mais il faut attendre 17h00 pour qu'en contrebas de mon affût apparaisse une biche suivie d'un jeune cerf dix cors. ( images N° 449 à 452 ).





La biche étant monté vers moi , le cerf en fait autant et donc se rapproche. ( image N° 453 ).


La biche m'étant presque "passée sous le nez", le cerf va bientôt en faire autant. ( image N° 454 , focale 200 mm plein format, peu recadrée ).


Le voila si près ( environ 5 mètres ) que je ne peux en saisir qu'un portrait ( image N° 455 , non recadrée ). Avec une telle proximité pour un cerf au trot, la vitesse d'obturation de 500 est limite.


De nouveau c'est le calme, mais cela ne dure pas longtemps car vers 17h25, alors que le soleil fait une brève mais énergique apparition, se pointe un douze cors ne faisant lui aussi qu'un bref passage, ( image N° 456 ). Malheureusement l'arrière-plan compliqué et violemment éclairé ne facilite pas la lisibilité du sujet.


Puis le calme revient pour plus d'une heure avant que de nouvelles biches viennent nous rendre une visite ( je dis "nous" en pensant à l'autre photographe ). Bien entendu , un cerf les suit de près et cette fois c'est du sérieux ! Cerf 13 cors , très robuste, très excité ( bave aux lèvres ).( images N° 457 et 458 ).



De nouveau , les biches montent vers moi, suivies de près par le cerf.
J'ai bien commencé à dézoomer mais cela s'est passé si vite que lorsqu'il se retrouve à 10 mètres de moi je suis encore à 290 mm de focale et pour ne pas être entendu je n'ose plus rien toucher car il s'est arrêté pour quelques secondes. Je suis mal positionné ( des feuilles vont voiler une partie de l'image ) et en plus je rate mon cadrage . Pendant ces quelques secondes de grande proximité, je ne suis pas inquiet car les incidents sont très rares et mon affût est assez sécurisant, mais je me sens tout petit et c'est un moment très intense, un de ceux qui justifient d'en avoir bavé pendant 2 semaines souvent sous la pluie et dans le froid. ( image N° 459 )


Les biches étant reparties , il en fait de même et me plante là. Cà y est j'ai dézoomé à fond ... mais c'est trop tard. ( image N° 460 sans recadrage ) .
A suivre ...

Bien qu'elles soient toutes sympas je préfère la 458 aux contrastes moins poussés.

Bonjour, les plans plus aérés sont plus beaux , 456457 et 458. L’émotion de la grande proximité est indéniable et on comprend l'envie de la partager.

J'aime bien cette série dans son ensemble...AAAHHHHRRRRGGGG les bois coupés sur la 459...sans ça elle serait top de chez top avec ce vieux guerrier à l'oreille déchirée...

Alain

Une série bien sympa dans son ensemble.

Et bien moi perso en découvrant cette série ,j'oublie les contrastes poussés ,(ce qui est effectivement mon impression), j'oublie le bois coupé (ce qui est vrai aussi et c'est dommage) mais j'admire la qualité de l'ensemble ,la proximité réalisée grâce à une grande connaissance du terrain et de l'espèce .
Il y a vraiment des clichés impressionnants comme
La 449 et cet œil qui est si vif sur un arrière plan sombre .
La 453 et ce mouvement plein de dynamisme
La 454 ou tu as du ressentir une belle émotion
La 459 ou on voit qu'il n'y a pas que toi qui en bave .
Alors malgré ces contrastes appuyés (est-ce du au post traitement un peu poussé ou a ton nouveau boitier qui donne ce rendu, j'ai remarqué que c'est depuis que tu l'utilises ,il y a un manque d'équilibre entre netteté et douceur )
Mais à part cela je reste sur l'émotion transmise et celle que tu as du ressentir et que j'envie de ne pouvoir plus vivre de tels moments si intenses
Dominique