T'inquiète Dominique, tu as juste un peu d'avance, les 1967 et 1968 mériteront également le bandeau.

Mais c'est vrai que ces deux là...Je veux bien laisser ma place pour la 1768. Gros coup de coeur pour moi !!!

Allez tes désirs sont des ordres (comme je l'aime vraiment ,je la sélectionne ) et tu garderas quand même ta sélection ,et on "pondra" ultérieurement une loi anti trust pour Robert

Vous disputez pas hein, j'en ai plein d'autres

Merci à vous tous

PS : je n'ai pas de mérite, c'est juste grâce à çà

Merci pour la mise en situation.
Le harle bièvre ,il passait sur le bras à droite de l'image?
Dom

Très belle série, ...encore
Les vues au ras de l'eau apportent vraiment un plus à la prise de vue
On va dire 1767, 1768 et 1770, mais tout est extra!

C'était un autre affût, j'en fais plein à divers endroits. Celui-ci a servi pour la toilette des spioncelles qui étaient juste en face de l'affût sur la rive de ce bras mort à 5m. Mon terrain de jeu est immense et il y a personne, même pas de pêcheurs.

Merci à vous tous.

encore une foie je reste admiratif devant de tel qualités même une simple fauvette a tête noir est valorisée part ton œil

Quelle chance d'avoir un si beau terrain de jeu! j'adore les photos faites au ras du sol ou de l'eau, alors je ne peux que trouver les tiennes à mon goût, comme la majorité ici. Une belle maj.

Superbe et peu importe la rareté quand la qualité est là !
Je trouve la bergeronnette marchant dans les nuages magnifique.

Une superbe série ! On pourrait donner un plus au 3 premières dans lesquelles la texture de l'eau apporte un plus mais tout est à garder

Pour ne pas créer de malaises je précise que ces photos sont faites dans les respects des restrictions en vigueur du moment. A savoir les dix kilomètres et le respect du couvre-feu de 19h00. En effet, en montagne nous pouvons toujours aller dans les refuges d'hiver ouvert au public en respectant tout ce qui doit être fait bien entendu (article dans le "Dauphiné libéré" cette semaine). Mais vous imaginez bien qu'à cette époque et dans ces conditions il n'y a pas la foule qui se bouscule au portillon.
Donc j'en ai déduit que si je peux aller dans un refuge je peux également aller dans ma tente.....

1773 - Comme d'habitude je pars en début d'après midi pour accéder au bivouac après de longues heures de marche. La froidure qui a sévit ces derniers temps n'a pas fait fondre beaucoup de neige et les pistes ne sont donc pas du tout déneigées pour s'avancer un peu. La semaine dernière j'ai déjà fait un portage en laissant sur place le matériel qui peut y rester, à savoir tente, duvet, doudoune, matelas, pelle à neige, bâche et filet blanc. Malgré çà mon sac est encore très lourd.
Il est 17h00, j'ai fini de m'installer après avoir minutieusement regarder les traces et indices pour être placé au mieux demain matin. Pas question de se louper après autant d'effort. Je rentre dans la tente au cas où les oiseaux viendrait ce soir, ce qui arrive parfois.....


1774 - Je ne verrai pas les oiseaux ce soir là, tant pis. Il est pas loin de 20h00 quand je me glisse dans le duvet après un repas aussi rapide que léger. Il y a bien longtemps que le soleil est parti et dehors il commence à cailler sérieusement. Il ne faudra pas beaucoup de temps pour que je tombe chez notre chère Morphée.


1775 - Il fait encore nuit quand je m'installe pour la photo. Ce qu'il y a de bien quand on fait les photos dans la tente où on dort c'est qu'on peut rester bien au chaud dans le duvet.
C'est d'autant plus appréciable que les oiseaux arrivent quand il fait encore nuit. Il se pointent en général vers les 5h30, ce qui veut dire qu'il faut prendre un peu de marge et être en place avant. Ça veut donc dire qu'il faut attendre au moins 1h30 à 2h00 pour espérer faire les premières photos. C'est très long lorsqu'on se les gèle assis sur son petit siège en guettant les premiers rayons de soleil.... c'est du vécu !
Premières photos alors que le soleil commence à peine à lécher les sommets. Comme toujours on fait quelques photos malgré les conditions défavorables au cas où....


1776 - Mais l'inconvénient d'une tente "classique" comme celle que j'utilise cette année c'est qu'on ne voit rien de ce qui se passe sur les côtés ou derrière. De fait je vais louper un couple de bartavelles qui traverseront à toute berzingue la place de chant au milieu des coqs !!!! Incroyable....


1777 - Mais déjà le soleil pointe le bout du museau.... l'ambiance et les couleurs changent doucement : tout se réchauffe


A bientôt pour la suite.

Comme d'habitude une belle série, avec une préférence pour la dernière avec les teintes rose/orange.
Rémy

La condition physique, l'expérience et la connaissance du milieu sont indispensables pour pratiquer de tels affûts et tu nous donnes là, Robert, à rêver, une fois de plus, pour la plupart d'entre nous qui ne disposons pas de l'un ou l'autre, ou l'ensemble de ces paramètres! Merci à toi pour cela, pour le making of et pour les premières de tes images de ces emblématiques tetras lyre!

bien agréable de lire tes exploits mais alors les photos produites sont vraiment sublimes.

Voila de l'image méritée !
Sans parler du plaisir incomparable d'assister au lever du jour en compagnie des sujets visés.
Quelle fut la température minimale ?

François