Pratiquement inévitable, mais surement gérable.
Je me plaque au sol uniquement si dans mon entourage il n'y a pas de fleurs, ou de plants qui puissent être endommagés pas ma pratique photo.
Je pousse même mon expérience personnelle à ne pas déclencher sur toute une matinée si je ne peux opérer dans de bonnes conditions de sauvegarde pour mon environnement.
Pour ce qui concerne un tapis de sol, celui que j'emploi est bien moins large que moi qui mesure 1,85 m et pèse plus de 100 Kg. Il me sert surtout pour éviter de reposer mes bras sur des ronces ou sur des cailloux affûtés pour pourraient me blesser et gâcher ma stabilisation.
Pour finir sur le thème du respect de la nature, sachez que je suis un inconditionnel et presque obsessionnel défenseur de notre terrain de jeu préféré.
Je vois par mon expérience et mon parcours de vie de bien mauvaises choses sur la pratique photo, et j'ai à me prononcer presque tous les jours sur l'éthique de notre pratique en acceptant ou en refusant de post traiter des photos que l'on me confies avant parution.
Je suis souvent mal traité à ce sujet, et les photographes avec qui je partage mon expérience le savent. Pas d'optimisation si j'ai le moindre doute quand à la pratique douteuse ou irrespectueuse de la nature par le photographe.

Belles explications qui reprennent ce que l'on sait de la pratique de la macro. Mais il doit y avoir une sacrée trace de ton passage après la prise de vue si l'on considère que tu fais du ménage que tu t'aplatis dans la végétation et que tu t'y reprends à plusieurs fois. Bon je sais c'est pratiquement inévitable.

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Ça m'étonnait qu'on ne parle pas encore de çà. J'avais lu à plusieurs reprises que les puristes écartaient les tiges gênantes avec des pinces à linge, qu'ils marchaient toujours dans leurs pas et qu'ensuite ils relevaient les herbes couchés ....... Faut pas exagérer quand même. J'aimerai savoir si c'est du blabla ou si effectivement ils font vraiment tout çà, franchement j'ai de gros doutes. Surtout que neuf fois sur dix derrière eux il y a un paysan qui va tout couper, une vache qui va tout piétiner ou des moutons qui ne vont tout ratiboiser .......... Bon ok, j'arrête avec mes troupeaux.

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C'était le genre de truc à annoncer en préambule , parce que quand on pratique, on sait pertinemment que quand on se relève, l’environnement n'est plus le même qu'avant , en ça je rejoins Vario

Ça m'étonnait qu'on ne parle pas encore de çà. J'avais lu à plusieurs reprises que les puristes écartaient les tiges gênantes avec des pinces à linge, qu'ils marchaient toujours dans leurs pas et qu'ensuite ils relevaient les herbes couchés ....... Faut pas exagérer quand même. J'aimerai savoir si c'est du blabla ou si effectivement ils font vraiment tout çà, franchement j'ai de gros doutes. Surtout que neuf fois sur dix derrière eux il y a un paysan qui va tout couper, une vache qui va tout piétiner ou des moutons qui ne vont tout ratiboiser .......... Bon ok, j'arrête avec mes troupeaux.

Merci pour les explications.

Je pensais aux espaces sauvages bien sur, qui sont souvent protégés ! dans les pâturages la question ne se pose même pas.. mais difficile d'y trouver une orchidée ., et chacun fait avec sa conscience !
Philip, sur ta dernière photo tu nous dis que l'avant plan est collé a l'objectif, je suis quand même très étonné que tu aie autant de détails ? même avec le pare soleil !. et surtout à grande ouverture : f/3.3.

merci Philip pour toutes ces explications!!

l’avantage de la flore et de la fonge, c'est que le sujet ne bouge pas et qu'il est donc quasi toujours possible de chercher l'angle de PdV qui nous semble le plus adéquat et en plus, il n'y a pas de précaution spéciale pour éviter d'être repéré.... le choix de ses sujets de prédilection reste justement affaire très subjective et donc de choix personnel.