J'ai parcouru cette MAJ hier et j'étais persuadé d'avoir laissé un commentaire, heureusement que Robert est venu pour que je corrige cette lacune .
Il est toujours agréable de changer de lieu ,ne serait-ce que pour le dépaysement, et puis comme tu dis le plaisir de côtoyer des espèces différentes .
Une belle série de bec plat avec une mention particulière pour ce portrait de cygne chanteur et l'atterrissage des chipeaux .
Dominique

Ma jeunesse Jacques, je suis né à 20km du Marquenterre et c'est là que je me suis épris des canards (hélas pour la chasse à cette époque, on est pas picard pour rien, mais cela fait bientôt 50 ans que j'ai arrêté! C'est aussi de là que me vient la tradition de la topette avec mes PDP Potes de Picardie).
Donc merci pour ces bons souvenirs, à cette époque, la réserve n'existait pas, il a fallu la famille Janson pour la créer.
Très sympa ce post.

Cela semble être un paradis des canards...un plus pour le morillon...

Alain

Un bon bol d'air, du dépaysement, et hop...........une série tip top

Idem ! Une petite préf pour le morillon et le cygne en portrait...

Merci pour vos retours et commentaires.
189- quatre espèces d’échassiers rencontrés, l’aigrette garzette qui niche au milieu de la héronnière sur les pins.


190- le héron garde –bœufs, lui aussi nicheur et qui suit les animaux du parc et des alentours.


191 les spatules blanches très occupées en ce moment au transport de matériaux pour recharger les nids.


192- le choix des morceaux de bois a l’air très pointu, nombre ne semblent pas convenir et sont relâchés.


193- deux à trois prélèvements par vol, pas plus.


194- petite partie de la héronnière ou la zone est plus concentrée en spatules.


195- Chez les cigognes blanches les choses doivent être plus avancées puisqu’elles en sont à la garniture intérieure de la coupe. Apports qui perdurent pendant la couvaison à chaque arrivée d’un partenaire pour le relai.


196- aire de cigogne avec couveur


197- et ensuite c’est la recherche de nourriture dans les prairies humides.


198- cigogne en train de boire.

Merci pour vos retours et commentaires. La je n’ai rien eu !!

Je passe aux limicoles.
Depuis quelques années je me disais qu’il faudrait que je m’arrête à la réserve ornitho du grand Laviers.

https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q= ... 92jGvRvkYV

Ce fut fait cette année… comme tout lieu, il faut plusieurs visites pour apprécier, je ne peux pas dire que j’ai été enchanté mais au moins deux observatoires permettent de la proximité.

199- quelques barges à queues noires relativement proches se toilettaient paisiblement.


200- c’est le moment de la remontée des combattants variés et ils étaient la…bien entendu pas encore dans leur tenue de noce.


201- j’aurai au moins photographié dans de bonnes conditions des chevaliers aboyeurs. Trois individus se nourrissaient dans une mare peu profonde et sont restés longtemps.


202- un duo.


203- digue à la mer du Crotoy…rien sauf ce courlis corlieu au milieu des obiones qui semblait m’éviter, mais la distance de sécurité était très large. Puis un groupe bruyant d’une cinquantaine de pluviers argentés, gambette et aboyeurs se sont posés sur la grève à une distance non propice à la photo !


204- retour au Marquenterre, grèbe à cou noir solitaire pourtant il ya avait des couples avec jeunes sur le dos, mais trop loin.


205- quand il n’y a rien d’exceptionnel, il y a toujours les foulques et leurs poussins…


206- attitude caractéristique du poussin qui quémande.


207- devant l’observatoire des ilots de mouettes, un gambette en plumage nuptial se pose et très vite pourchassé par une avocette.


208- j’aime l’observatoire 12, il est tranquille, situé devant une prairie humide. II permet une bonne proximité avec spatules, échasses, cigognes, vanneaux, gorgesbleues etc.
Deux couples de vanneaux cantonnés semblaient se partager l’espace, plusieurs accouplements et défenses de territoire. Celui –ci était en train de se nourrir en tapotant d’une patte le sol humide pour faire sortir les insectes aquatiques et vers.


209- vanneau pourchassant une bécassine des marais trop proche d’un nid.

J'avais zappé ta série de belles aigrettes; hérons, spatules et cigognes et c'eut été bien dommage.
Ta visite au Grand Lavier est fort riche 200 et 201 sont mes préférées et le courlis corlieu est superbe.

Ces poussins de foulques ont une bouille incroyable...belle série dans l'ensemble...quelques plongées inhérentes à ces observatoires...

Alain

De belles observations bien sympas, dans cette série. La barge, le combatant varié, le courlis, le grèbe à cou noir, les foulques (surtout la 205) me plaisent bien, ma foi

Bonsoir Jacques,
Désolé pour cette omission sur le précédent post mais je suis assez souvent en balade en ce moment et assez peu devant l'écran. Et même le soir je suis encore dehors avec ces papillons de nuit... La vie de retraité est infernale

Je préfère la seconde série où il y a un peu plus de proximité. Ce qui ne m'empêche pas d'apprécier les plumages nuptiaux de ces échassiers que je ne vois guère comme çà.

Dans ton affût 12 tu pourrais tomber sur des raretés lors des migrations, bécassines, marouettes, et autres limicoles etc...

Merci Robert de ton passage et ne t'excuse pas le printemps est pour nous tous une période bien chargée. Je ne me suis pas mis aux pap de nuit en grande partie pour ça, (je pense que Catie n’apprécierait pas mes absences supplémentaires la nuit!).

j ai parcouru tout ce fil, il y a de très belles choses, tout est bond a prendre BRAVOS

Merci pour vos retours et commentaires.

210- c’est l’époque des amours chez les échasses et les disputes de territoires sont fréquentent.


211- puis les couples repartent dans leur petite zone.


212- puis la recherche de nourriture reprend.


213- petit étirement.


214- le cérémonial des accouplements est immuable. Quand la femelle est prête elle se fige en tentant le coup près de l’eau. Le mâle tourne autour et prend son temps, puis grimpe dessus en se calant à l’avant des ailes avec ses pattes.


215- après l’accouplement les partenaires croisent leur bec et font quelques pas ensemble, le moment que je préfère.


216- chez les avocettes, c’est un peu près pareil. La, deux couples cherchent un emplacement en périphérie de la colonie de mouettes. Les mâles se fritent à grands coups d’ailes.


217- pendant que les femelles marquent leur emplacement.


218- La lumière était laiteuse, impossible de faire bien ressortir les couleurs ! Protocole d’accouplement identique aux échasses, ce mâle n’était pas pressé, il a fait cinq fois aller-retour autour de la femelle. Se toilette, arrose la tête de sa compagne…


219- positionnement sur le dos


220 frotti-frotta des cloaques


221t et pas de deux, becs croisés et aile du mâle qui recouvre la femelle.


Voilà pour cette fois.

De belles et intéressantes scènes...les échasses sont des oiseaux très élégants...j'espère que tu pourras nous présenter les poussins, ceux d'échasses sont tellement craquants...

Alain